Nala MA pupuce

Nala est arrivée chez nous de manière totalement imprévue.
Sa famille humaine aurait dû déménager, mais jusqu’à présent, tout ne se passe pas comme ils l’espéraient et le bien-être de Nala leur tenait à cœur. Ce trésor est donc arrivé chez nous juste avant la fin de l’année.
Comme son séjour est un peu incertain, je me suis  inquiété pour elle et je me demandais si elle pourrait supporter des vacances un peu plus longues. Mais jusqu’à présent, tout se passe bien et je me suis terriblement attachée à cette petite. Je ne l’appelle plus que très rarement par son nom, mais simplement : où est ma pupuce ?
Dès qu’elle a posé ses petites pattes dans la pension, elle s’est sentie bien.
Pupuce et moi avons maintenant notre routine quotidienne et nous nous accordons parfaitement. Le matin, lorsque j’arrive dans ma cuisine, elle m’attend déjà dans l’enclos extérieur, près de la fenêtre de la cuisine. J’ouvre la fenêtre et elle s’installe sur la structure de la cuisine et me regarde préparer d’abord la nourriture humide de mes amours, puis la sienne. Et elle sait très bien qu’elle ne peut pas venir sur le sol à l’intérieur, car c’est le territoire des miens et elle le respecte, même si je lui tourne le dos 😉. Normalement, il n’y a pas de nourriture humide dans l’enclos extérieur pour des raisons d’hygiène, mais il y a quelques exceptions et elle en fait partie.
Alors quand j’entre en haut dans la pension, j’entends déjà le claquement de la chatière et qui entre ? : ma pupuce. Elle m’accompagne pendant toute la durée de ma présence ou s’installe sur un arbre à chat d’où elle peut tout observer.
Une fois que j’ai tout terminé à l’intérieur et que je suis dehors un peu plus tard, c’est à nouveau la même procédure et elle descend la passerelle de chat pour me rejoindre. Et bien sûr, je la gâte autant que possible.
Au début, elle passait presque tout son temps à l’extérieur, mais elle est devenue un peu plus prudente avec les changements de temps et de température et on la voit maintenant plus souvent à l’intérieur. Je ne peux pas m’empêcher de penser à ce qu’il se passera quand elle ira enfin dans sa nouvelle maison. Je sais juste qu’elle me manquera énormément ma petite pupuce.